Hier, près avoir posé Patrice à l'aéroport, et quelques déboires dans le parking (impossible de payer avec la carte Interac, j'arrive pas à me faire à cette idée qu'une carte de débit, c'est pas l'équivalent d'une carte bleue), je suis passée chez IKEA. Perrine et Lucie arrivent dans 15 jours, et y'a du boulôt pour finir leurs chambres.
Je ne dis pas ce que je leur ai pris (je leur laisse la surprise) mais voilà un indice ci-contre.
Tirant des leçons de ma visite précédente, j'ai cette fois mis Camille en écharpe dans mon dos pour la visite, et je ne m'en suis pas trop mal sortie, sauf avec les grands "tapis" en plastique destinés à protéger le parquet des chaises à roulettes, qui ne sont pas lourds, mais franchement encombrants à manoeuvrer. Le plus dur ça a quand même été le paquet de 33 kg à remonter seule à la maison. J'avais réussi à m'en sortir sans trop d'efforts au magasin, en le faisant basculer de sa pile dans mon chariot, puis du chariot dans le coffre de la voiture, mais passer l'escalier c'était vraiment rude. Je l'ai amené péniblement jusqu'au perron (déjà une dizaine de marches), puis je l'ai ouvert derrière la porte d'entrée, et j'ai fait plusieurs aller-retour dans l'escalier intérieur pour acheminer toutes les pièces en haut. Au passage je me suis ruiné un orteil, ça m'apprendra à déménager en tong! Une question me hante néanmoins : mais comment Pat se débrouille-t'il pour échapper systématiquement à la corvée IKEA? Ah oui : il bosse.
...
J'en ai aussi profité pour prendre un vrai cadeau d'anniversaire à Camille.
La première fois que je l'ai mise debout tenue au chariot, je n'avais pas encore bien réglé la dureté des roues, et il est parti vers l'avant. Elle a cavalé derrière et s'est fait un peu peur (mais n'est pas tombée) et depuis elle préfère se faire pousser dedans par son Papa que d'essayer de marcher derrière. 
Sur ce je vous laisse, j'ai de l'assemblage à faire...
